Printer Friendly Version DÉCLARATION DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES @ 19 December 2020 03:27 PM

Le 10 décembre, à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'homme, le ministère des Affaires étrangères de la République de Serbie réaffirme son attachement aux principes et aux valeurs de la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée ce même jour en 1948.

Les principes inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme ont été à la base du développement du droit international dans ce domaine et du système international de promotion et de protection des droits de l’homme, en tant que réalisation unique de la civilisation moderne. Aujourd’hui, il est de notre devoir de sauvegarder et de renforcer le système international garantissant le respect des droits de l'homme, d'élaborer des normes relatives aux droits de l'homme, de contrôler la mise en œuvre des engagements et de continuer à coopérer avec les institutions internationales et régionales en matière de protection des droits de l'homme.

La Serbie est pleinement attachée aux valeurs universelles des droits de l'homme, et met en pratique les instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l'homme. Notre coopération continue avec les mécanismes du Conseil des droits de l'homme dans le cadre des Nations Unies, avec le Conseil de l'Europe et les mécanismes de la dimension humaine de l'OSCE, représente un segment important d'activités menées par toutes les autorités de l'État, démontrant ainsi notre engagement constant à la mise en œuvre des normes internationales relatives aux droits de l’homme.

La Journée internationale des droits de l'homme est l'occasion de souligner une fois de plus que la population serbe et celle non albanaise est privée de ses droits au Kosovo-Métochie,  et de demander de nouveau à la communauté internationale d’assurer le respect des normes internationales garanties en matière de droits de l'homme, et à contribuer à créer des conditions propices au retour des personnes déplacées à l’intérieur du pays, et à leur rendre leurs biens usurpés.